À PROPOS

Qui suis-je ?

Pour ce qui est question de mon histoire, elle débute un jour de mai où je suis née dans un petit village entre Saumur et Tours. Mes parents m’ont donné le prénom de Camille. Je vis maintenant près de Poitiers. J’y ai débarqué en 2012 pour faire mes études.

Il paraît que je suis timide, gourmande et impulsive. En vrai, je ne peux le nier. La nourriture, c’est la vie ! Et quand, j’ai quelque chose en tête, je vais au bout des choses, je déteste rester sur ma fin (ou faim haha!). Apparemment, j’ai aussi un peu d’humour. Bref, photographe passionnée, je suis avant tout professeure. J’enseigne le français à des collégiens et lycéens. 

J’ai toujours aimé les activités « créatrices ». Petite, j’aimais déjà écrire des histoires et j’espère sincèrement écrire la vôtre à travers mes photographies parce que pour moi photographier, c’est écrire sans les mots.

Sinon, en dehors de la photographie, je suis follement amoureuse de mon chien et de mon compagnon – enfin, surtout de mon chien… Mais ne le répétez surtout pas à mon compagnon ! (Je blague 😆!)

 
Camille choleau photographe Poitiers

Moi & mon corps

Je suis une inconditionnelle gourmande, plutôt introvertie, très pudique et aussi maladroite que Sid dans L’Âge de glace (bon j’exagère peut-être un peu !). Et mon corps dans tout ça ? Une sacrée aventure, digne des plus grandes montagnes russes : il y a des hauts, il y a des bas, des joies, des angoisses, des envies de vomir. Et si vous êtes ici, c’est que vous comprenez sûrement de quoi je parle. 

Au lycée, je portais des sarouals avec des hauts très amples, alors niveau féminité je pense qu’on pouvait mieux faire, non ? Même encore aujourd’hui, je suis en mood jean-baskets bien loin de l’image feminine donnée par les pages de magazines et les influenceuses. Mais bon, qui a dit qu’en baskets on ne pouvait pas être feminine d’abord ? 

C’est juste une question de regard sur soi, sans se soucier de ce que les autres pensent, et ça c’est difficile, c’est vrai ! Bref, mon corps, je l’ai détesté, mais vraiment ! Il a beaucoup changé aussi, et pourtant, je n’ai toujours pas eu d’enfants mais j’ai appris à le regarder différemment. Finalement, mon corps, c’est un peu mon carnet de route. Chaque événement de ma vie (positifs ou non d’ailleurs) s’est marqué sur mon corps. 

Alors, peu importe que mon corps soit imparfait, c’est le mien, c’est ma « maison » et que je le veuille ou non, il fait partie de moi et il est unique.